Trouvez votre photographe culinaire à Lille pour sublimer vos plats et vos créations...
On a tous un jour pris en photo un gâteau que l'on venait de confectionner. Résultat ? Une photo quelconque, qui ne donne aucune idée des bonnes odeurs de cuisine et du goût savoureux du dessert. Pourquoi ? Parce que la photographie culinaire, c'est un métier, qui a le vent en poupe, et ça ne s'improvise pas !
Nous verrons dans cet article ce qu'est un photographe culinaire ? Comment travaille-t-il ? Et comment s'organise-t-il pour nous mettre l'eau à la bouche avec de superbes clichés.
Qu'est-ce qu'un photographe culinaire ?
Autrefois, les artistes peignaient des natures mortes, des tableaux sans aucun personnage montrant des coupes de fruits, du pain ou des fleurs dans un vase. Le photographe culinaire en est leur digne héritier. Comme les peintres de cette époque, il peut passer plus de 3 heures dans son studio à installer ses éléments afin de réaliser une seule photo.
Une partie du travail du photographe culinaire à Lille consiste à créer de véritables compositions, les plus harmonieuses possibles, en fonction de la forme et de la couleur des plats et des recettes de cuisine, et il ne transige pas avec la qualité du cliché. Les photos sont bien sûr ensuite longuement retouchées, pour corriger leur contour, la lumière, et enlever les éventuelles traces.
Lors de ses shootings, Il photographie des plats, des aliments, pour des livres de recettes de cuisine, des blogs culinaires, ou encore le menu de restaurants. Lui-même passionné de gastronomie, il sait prendre la meilleure photo au moment T pour susciter l'envie et faire saliver les gourmands.
Le photographe culinaire en Hauts-de-France travaille de plus en plus avec des bouchers, des poissonniers, des viticulteurs ou des boulangers/pâtissiers disposant d'un site Web ou faisant paraître un catalogue ou des publicités.
On l'a dit, ils sont très sollicités par les restaurants et les fast-foods, dans lesquels il n'est pas rare de trouver au menu une photo du plat qu'on s'apprête à commander. Les photos sont aussi importantes que les avis clients lorsqu'on recherche un nouveau restaurant, un traiteur ou une livraison de repas via le "click and collect".
Parfois il est obligé de tricher un peu : impossible de photographier une boule de glace, elle fondrait en quelque secondes sous la lumière des spots. Alors, il fait fabriquer de fausses boules de sorbet, avec de la pâte d'amande et du beurre, et le tour est joué !
Pour ce faire, le photographe culinaire Lillois est aidé lors de ses shootings par le styliste culinaire, véritable metteur en scène de la séance photo. Quant à la star, c'est bien sûr la recette.
Une fois que le styliste culinaire a créé la composition, c'est au photographe d'entrer en piste (certains cumulent les deux casquettes).
Avec son appareil, il joue sur les couleurs et les textures, pour obtenir lors du shooting, dans son studio ou dans le lieu que vous aurez choisi, un cliché qui est un véritable objet d'art. Il n'y a qu'à voir comme l'appétit s'ouvre quand on feuillette un livre de recettes : on a envie de dévorer la photo. C'est que cette photographie culinaire est réussie.
Le but de la photographie culinaire est de faire de belles photos de quelque chose de comestible, pas de cuisiner quelque chose de beau ! On peut toujours sublimer un plat en image, même si le goût n'y est pas, voire même s'il est raté ! Ce qui compte, c'est l'esthétisme de la photographie.
Comment travaille le photographe culinaire ?
Nous allons vous expliquer comment travaille le photographe culinaire à Lille.
Il choisit d'abord un sujet (par exemple, les boules de glace, un fromage, du pain d'épices), puis il définit 3 couleurs : une couleur principale, une couleur secondaire et une couleur d'ambiance.
Il cherche ensuite un thème, une histoire à raconter avec sa composition (cela peut être Noël, un anniversaire, un barbecue, un apéritif...), puis il s'occupe de la préparation du stylisme (il choisit les accessoires qui peuvent être, on l'a vu, de la vaisselle, des objets de déco, des ingrédients, des textiles...). Il définit ensuite un support pour la pose de sa composition (une table en bois, en métal, en marbre...).
Puis il s'attaque à la mise en lumière. Il privilégie toujours la lumière naturelle. Ce sera la lumière du matin pour une photo sur le thème du petit-déjeuner, par exemple. Le plat ou l'aliment étant le seul sujet principal de la photographie, il est intéressant de le valoriser en jouant avec la source de lumière afin de mettre en relief sa spécificité (par exemple les deux textures que l'on trouve dans un fondant au chocolat) et de jouer avec les ombres pour apporter du contraste.
Il commence ensuite à installer sa mise en scène sur son support, et fait les premiers réglages de l'appareil photo, qu'il peut poser sur un trépied.
Il cherche alors le bon angle de vue, soit savoir s'il doit prendre la photo de face, du dessus, ou encore en contre-plongée. L'angle de vue et le cadrage doivent mettre la recette de cuisine en valeur.
Il faut ensuite définir le format de la photo : le choix se fait entre le format portrait (vertical) et le format paysage (horizontal), et pour la taille, on a le choix entre la photo 2/3, 4/5, Carré (1x1), 16/9e... Tout dépend de l'usage final de la photo. Même si on peut recadrer ensuite, il est très important de faire sa sélection en amont.
Le shooting peut commencer. Une fois la séance terminée commence un important travail de post-production, réalisé on l'a dit avec un logiciel de retouche, mais aussi avec d'autres outils propres au métier de photographe.
Si vous exercez un métier de bouche, nous ne saurons trop vous conseiller de faire appel à un photographe culinaire à Lille pour sublimer vos plats, et réaliser pour vous de magnifiques visuels.